:: Mon arbre ::

:: Monday, March 12, 2007 ::

Bon... j'ai pas eu le temps de prendre en note mon rêve ce matin, alors j'en ai oublié la moitié. Je note ici ce dont je peux me souvenir...

Ce n'est pas un rêve normal, c'est une chose que je sais. Ce n'est pas l'autre côté non plus, je crois... ou pas complètement, plus probablement un dreamscape plus large. Le monde est trop complet et trop complémentaire à celui d'autre d'autre rêves ayant ce feeling de "pas un rêve normal". Pas le premier du genre qui parle d'un cegep. Ça ressemble au monde des ondines et celui du dragon ou l'autre avec le cegep qui s'atteint en métro... Une "tonalité" au rêve quand même similair à ceux que j'ai partagés, mais plus comme ces rêve marquants à vie que je fais parfois. Le genre de rêve aussi... si j'étais blessée dedans, je ne suis pas sûre que je ne le serais pas pour de vrai... J'ai peut-être partagé avec quelqu'un, faudra que je demande à minou si on était dans le même monde. Un jour, je pourrais écrire des romans tellement je commence à connaître ce monde à fond!! Minou m'a dit que ça ressembalis au style d'un auteur... il a fait une série sur xanth. Le début du rêve semble m'appartenir entièrement, mais il ne dure pas longtemps.

Je ne connais pâs le sens du rêve, s'il en a un.

Début:

Je retourne au cégep prendre des cours. Je m'inscrit en architecture (qui n'est pas un cours de cegep...). Je parle un peu avec ma mère, je m'arrange avec la job...

Rêve différent:

J'arrive au cégep, sur le bord de l'eau. Une rivière, je crois. Noire et froide. Vraiment noire. C'est toujours la nuit, le temps avance à peu près à la même vitesse que le vrai, je dirais. Je rentre. Ça resssemble plus à une maison de thé ou un salon/resto arabe. Les chaussures restent à l'entrée - me manque un bout d'histoire - il y a une luminosité jaune en arrière-plan. Je cherche mes chaussures pour les mettre et sortir. Je crois les avoir trouvées, mais elle ne me font pas. Quelqu'un me dit que ce ne sont pas les miennes, elle sait à qui elles appartiennent (chaussure vraiment laides, blanches avec l'intérieur en fleurs jaune et brun viellot avec une grosse fleur blanche dessus - le rêve empire ce que j'aurais pu imaginer!). Je me souviens ne plus en avoir comme ça - me manque un bout de l'histoire . Je sors dans la nuit noire, sans lune ou étoiles. On pourrait aussi bien lui donner une luminosité noire. Il y a un quai avec un cargo - miniature comparé à un vrai- il n'y a que peu d'eau, on voit le sol entre deux canaux parallèles (et parrallèles à la rivière!!!). Je l'ai vu se déplacer et partir (mouvement pour le moins bizarre pour un bateau, très irréaliste comme tournant!)

Je me promène -il m'en manque encore un bout- de l'autre côté d'un bras de rivière et je rencontre deux morts, un couple. Je sais qu'il le sont, je ne sais plus si je les ai appelés. Capables d'affecter le matériel, et aucune transparence. Il veut réparer 2 des attaches de bateau au quai (je crois que c'est ce qu'il doit faire pour avoir terminé son travail et pouvoir partir). Pour une raison obscure - c'est au niveau du sol- on a besoin d'un échafaudage. On le trouve, et la femme me demande de monter dedans, elle a une idée pour le transport. Je m'assois dessus. Elle commence à déplacer l'échafaudage, et je réalise trop tard à quoi elle a pensé. Pas très brillante... elle le déplace vers le bras de rivière et il tombe évidemment dedans, restant coincé. Je tombe à l'eau. Je trouve ridicule son idée, ça aurait été facile à côté (je ne vois plus comment maintenant que je ne suis plus dans le rêve...). -m'en manque un bout- Je flotte dans l'eau froide (il y a un gros courant, je suis dans le gros bras de rivière vers le cegep, pas dans celui que l'on voulait traverser. Si je suis emportée plus loin que le cegep et la zone un peu avant, je n'arriverai plus à sortir). Je me tiens à une bouée jaune. (Un canard jaune de bain géant???) Je crois qu'elle m'avait été lancée par l'homme (pu sure). J'arrive à longer le bord et a m'y accrocher (il n'y a aucun bord de rivière naturel, ce sont tous des canaux) je me tiens à une fissure dans la roche unie du plancher. Un homme me rattrappe et m'aide à sortir (l'homme, je crois). On finit pas s'arranger (l'eau était froide, noire et opaque, mais je ne me souviens pas être sortie mouillée ou avoir eu froid dehors). Il me dit de ne pas faire confiance à sa femme po7ur ce genre de choses, elle est pas très maligne -m'en manque un bout- on fini par aller réparer les attaches à bateaux. Ils sont tous les deux partis. Je reagarde encore un peu les attaches, et quand je m'en détourne, je me réveille.

Les deux sont petits, lui cheveux blancs et à moitié chauve, elle cheveux blancs et blond, peu denses.

:: 12:08 PM ::